Quand vous saisissez l’arrêt de travail d’un collaborateur (maladie, accident, maternité ou paternité), PayFit vous demande son “dernier jour de présence dans l’entreprise”.
Vous devez indiquer ici sa dernière journée de travail entamée.
Par exemple : si le collaborateur obtient une prescription à compter du lundi et qu’il ne travaille pas le weekend, son dernier jour de présence dans l’entreprise est le vendredi.
👉 Il ne faut pas confondre le “dernier jour de présence dans l’entreprise” avec le “dernier jour travaillé” (DJT). Nous complétons automatiquement le DJT sur l'attestation de salaire selon la définition de la Caisse Primaire d’Assurance maladie :
“Le DJT est la veille du jour indiqué sur la prescription de l’arrêt de travail (y compris le weekend et les jours fériés). Par exemple : si le salarié obtient une prescription à compter du lundi et ne travaille pas les dimanches, son DJT est le dimanche.”
Notez bien qu’il existe des exceptions
Toute journée commencée est due par l’employeur. Si le collaborateur entame sa journée de travail et que le début de la prescription d’arrêt est ce jour, alors son DJT l’est aussi. Par exemple : votre collaborateur travaille le jeudi matin et présente un arrêt à compter du même jour, le DJT à prendre en compte est le jeudi.
Si un collaborateur enchaîne plusieurs périodes d’absences consécutives, y compris pour des motifs différents (congés payés, arrêts de travail, etc.), son DJT est la veille de la première absence.